Ichiro Kagome ♥

Ichiro Kagome ”

Aime moi, mais n'espère rien en retour ~

Prénom : Ichiro Nom : Torameishu Kagome Surnom : Ichi, Doc, Sexy Carpette, chaton... Autant de surnoms qui peuvent le flatter que l’exaspérer. Date de naissance : 29 Février. Ouais, il fête son anniversaire que tous les quatre ans, et alors ? Age: : 29ans à la création de sa fiche, maintenant il en a 31. Même si certains s'amusent à dire qu'il aura bientôt que 8ans. Mais les gens ont plutôt tendance à lui donner toujours 29ans. Sexe : Masculin. Ça se voit quand même un peu, non ? Il a pas assez de poils, c'est ça ? Origines : Indéfinies. Le clan de sa mère est japonais, même si la plupart des "pièces rapportées" pour conserver la pureté des félidés de la famille Torameishu viennent des quatre coins de la planète. Son père est moitié canadien par exemple. Nationalité : Japonais Orientation sexuelle : Homo et androgynosexuel. Certains le taxent de taper aussi chez les plus jeunes, mais tant qu'il y a des pec' des petits culs et des appendices masculins, il est pas très regardant~ Sauf quand il s'agit de grandes folles, comme Akemi! Emploi : Médecin pour thérianthrope et soigneur clandestin pour le Lycori Sanglant, soit autrement dit Pollen. On attend déjà la retraite... Groupe : Crépuscule Race : Félidé – gros gabarit – Tigre de la Caspienne (Panthera tigris virgata), officiellement reconnue en tant que Tigre du Bengale (Panthera tigris tigris). Utilise le déguisement de l'aura.

Goût : Pour le félidé ce n'est pas très compliqué puisqu'il se fout de la plupart des choses, ce qui fait qu'en général tout est gris pour lui. Ayant une forte tendance à la fainéantise, on voit parfaitement qu'il est un félidé de par ses habitudes de chat paresseux. Effectivement, il s'est trouvé une véritable vocation pour ce qui est de dormir, passant le plus claire de son temps à rêver du moment où il pourra rejoindre son lit ou son canapé. Gaffe à vous si vous le tirer du lit pour une quelconque raison, il sera d'une humeur de chien tout le temps où il n'aura pas pu se rendormir. Pour le rouquin, ses heures de sommeil sont importantes et c'est minimum 9h par nuit ! Généralement, les soirs où il fait des écarts, il a beaucoup de mal à assumer le lendemain. On s'apercevra également qu'il a un goût prononcé pour ce qui est de la chasse, étant un énorme dragueur qui attrape tout ce qui lui passe sous la main, tant que ça a une protubérance entre les jambes et pas de poitrine.

Les femmes, pendant un long moment, il les a exécrées, prêt à grimper sur un armoire et leur feuler dessus. Merci maman pour le traumatisme d'enfance. Déjà qu'il n'était pas très porté nichons, sa daronne a achevé d'étouffer dans l’œuf toute curiosité sexuelle à ce sujet pendant son adolescence. Mais maintenant il tente de se remettre un peu en question sur ce sujet et faire des efforts pour enterrer la hache de guerre avec la gente féminine. Après tout, elles ne lui ont pas toutes sautée dessus pour profiter de son nom et de sa semence ! Et pour la grande majorité, ce n'était même pas une décision qui venaient d'elles, mais plutôt une pression de leur famille ! Du coup, peut-être que certaines en avaient grandement profité, mais la plupart étaient aussi victimes que lui, des lubies de belle descendance de leurs familles respectives. Mais ça, il commence à peine à le reconnaître, son égo et sa rancœur lui ayant toujours fais croire qu'elles étaient toutes avides de participer à cette reproduction forcée. La première qui lui parle d'enfant par contre, c'est la fin. Et ça serait con de détruire tout ce qu'il a commencé à mettre en place pour ne plus les haïr…

En parlant d'enfant, s'ils pouvaient se tenir aussi loin que possible de lui, cela l'arrangerait énormément, ces gnomes venant briser le silence et la tranquillité d'un endroit par leur seule présence. Car oui, Ichiro aime le silence, sinon cela serait dur pour lui de trouver le repos puisque, malgré son adoration pour cette activité, il a le sommeil très léger et un rien peut le réveiller ce qui a tendance à faciliter ces périodes de mauvaise humeur. Mais sinon à par ça, il ne les déteste pas, les gosses. Juste qu'il ne sait pas comment s'y prendre avec eux. Bon d'accord, étant le seul médecin pour thérianthrope de Kyushu, beaucoup d'enfants viennent le voir, mais cela s'arrête à une relation strictement professionnelle. Un milieu dans lequel il est à l'aise, donc il arrive à gérer. Mais sinon, c'est un peu la Bérézina pour lui. Même si dans le fond, il ne les déteste pas… Et pourrait même apprendre à les aimer, si on lui en donnait l'occasion.

Le félin est aussi un grand amateur d'alcool et en particulier de haute qualité, bien qu'il pourra boire tout aussi aisément ceux qui seront de basse extraction. D'ailleurs, à force de boire il a acquis une très bonne résistance ! Mais il n'est pas difficile de le rendre saoul, ce dernier buvant comme un trou et ayant beaucoup de mal, par lui même à s'arrêter quand il a atteint ses limites. Pour qu'il soit beurré comme un petit LU il faut donc énormément d'alcool, mais pas forcément beaucoup d'endurance ! Et quand c'est le cas.. C'est une catastrophe. Un vrai déchet que plus rien ne retient et c'est souvent dans ces moments-là qu'il relâche son aura animal, dévoilant sa véritable forme. Et il n'y a d'ailleurs pas que ça qu'il dévoile.. finissant le plus souvent la soirée à poil, avec un peu de chance, encore son boxer sur les fesses, mais très souvent dans le lit de quelqu'un. Et le réveil est souvent très douloureux, son foie suintant d'alcool et il passera le reste de la journée soit à décéder dans le fond de son lit ou de la personne qui a bien voulu le laisser dans le sien par pitié, soit à survivre grâce au combo Doliprane et café, dont il n'hésite pas à abuser dans ces situations. L'automédication est le pire des fléaux. Mais comment dire non à un café…

Parce que le félin se révèle être un véritable accro de la caféine, en plus ! Une mauvaise addiction qui semble s'être propagée dans les gênes, étant un aussi gros buveur de caféine que son paternel. Un autre attrait qui pourrait facilement le faire confondre avec un chat, c'est son rejet total de l'eau, il déteste ça. Pourtant, ayant tout de même une grande majorité de sang de tigre dans les veines, il devrait apprécier et être un bon nageur, mais il doit y avoir quelque part parmi ses ancêtres un chat ou deux qui ont décidé de prendre le dessus sur ses gène dominants de ce côté-ci et il est donc extrêmement rare de le voir se baigner, prendre sa douche étant déjà une torture pour lui, mais jamais il ne détournera cette étape, la propreté étant quelque chose d'important chez lui.


Caractère : Aux premiers abords, Ichiro n'a rien d'aimable. Ayant toujours l'impression qu'un rien l'emmerde et que votre présence même et là pour lui gâcher sa journée, il ne donne franchement pas envie qu'on l'aborde. Un pur sale gosse qui râle sur tout ce qui ne lui convient pas, voilà ce qu'est cette saleté de gros chat. La plupart du temps. Parce que malgré ça, il est quelqu'un de charmeur et de très joueur, qui aime qu'on le remarque, qu'on se retourne sur lui quand on le croise dans la rue ou même, qu'on vienne l'aborder parce qu'on la trouvé sublime et donc qu'on espère avoir son numéro. Alors il fait des efforts et sourit, pour qu'on ait l'impression qu'il soit accessible et n'hésite pas à relâcher une dose infime de phéromones pour être sûr de ne pas rater son coup. Il aime après tout, qu'on le trouve attirant, cela flatte son orgueil. Ses parents ne sont peut-être pas des lions, mais il est clair que ce sang trop fier coule dans ses veines par de quelconques ancêtres. Attention à ne pas froisser cet égo d'ailleurs, même si il sait parfaitement bien le cacher. Il est un comédien dans l'âme arrivant à faire apparaître sur son visage des émotions qu'il ne ressent nullement. Méfiez-vous, un sourire joyeux de sa part ne veut pas forcément dire qu'il est heureux de vous voir, comme il l'est clairement dit plus haut. Mentir n'est pas tellement son plat favori, même il n'hésitera pas à le faire s'il le peut.

Ceci étant, le félidé n'est pas vraiment du genre à manipuler les gens pour arriver à ses fins, étant surtout un être fusionnant avec le ''Je-m'en-foutisme'' pur et simple, qui pourrait presque être tatoué sur son visage tellement c'est évident. Et puis, sa mère ne l'a pas aidé à se réconcilier avec la manipulation, dans son enfance, même si c'est quelque chose de toujours très utile dans les grandes familles. Tête de mule comme ce n'est pas permis, il n'acceptera jamais d'avoir tort et a tendance à tricher un peu trop souvent, dans n'importe quel domaine. Cependant même en étant aussi borné qu'il peut l'être, s'il n'arrive pas à avoir facilement ce qu'il veut, il abandonne tout aussi facilement et passera vite à autre chose. Tel un chat qui se désintéresse de son jouet. Même en matière de sexe, on pourrait presque dire la même chose. Lorsque quelqu'un l’intéresse, mais qu'il ne réussit pas à arriver à ses fins avec cette personne, il se lassera vite et ira voir ailleurs. Ce qui fait qu'il est d'ailleurs très dur de garder le rouquin pour soit, dans un couple. La notion de fidélité ne l'a jamais effleuré. Il pourrait sortir avec plusieurs hommes en même temps, qu'il trouverait quand même le moyen de les tromper avec un autre. De toute façon, la polygamie lui semble quelque chose de tout à fait naturelle, étant un gros gabarit, qui plus est, un félidé.

Ichiro est également quelqu'un qui tient énormément à son indépendance et ne supportera pas qu'on vienne mettre son grain de sel dans ses affaires ou encore mieux, lui dicter sa conduite. Attendez-vous à des représailles sinon. Mais il faut également avouer qu'il est très mauvais partenaire dans un couple et qu'il se contente des amourettes de lycéens. Avec quelqu'un (ou plutôt, quelques uns) oui, mais ne vous attendez pas à ce qu'il vous autorise à lancer votre brosse-à-dents chez lui. Il vous invitera le temps d'une soirée pour boire un verre et passer la nuit avec lui, mais cela sera la maximum que vous pourrez espérer de sa personne. Les aventures d'un soir, n'espérez pas temps. En règle général cela se passera chez vous ou à l'hôtel ! Et si jamais vous avez la chance que cela se termine chez lui, attendez-vous à récupérer votre boxer le soir même pour retourner dormir chez vous. Dans sa grande bonté, il vous payera peut-être le taxi retour. Il n'aime guère qu'on empiète sur son espace personnel et son appartement en fait partie. Si quelque chose à bouger de place, il le saura tout de suite, même s'il n'est, à côté de ça, pas capable de se souvenir de la tête de ses partenaires ! Le traiter des rustre et de goujat ne serait donc pas peu dire. Égoïste par nature, c'est un véritable enfant gâté à qui on a jamais apprit les bonnes manières, le rendant donc sans gêne. Il n'est pas vraiment du genre à s'encombrer des formalités ou de la politesse ou alors celle-ci ne viendra que plus tard, après un certain effort pour s'en souvenir.

La discussion ? C'est tout ou rien chez lui. Soit cela sera un enfer de le faire parler et il ne vous répondra que par des grognements d'homme primitif, soit, si l'humeur y est, il pourra se transformer en un vrai moulin à paroles. Même si très souvent, cela sera pour vous râler dessus d'avoir osé l'emmerder pendant qu'il faisait sa sieste ou bossait ou pour vous faire la morale parce que, c'est bien connu avec tous les éclopés qui vivent dans cette fichue ville, vous êtes incapable de vous tenir tranquille alors que vous êtes convalescent et que trop vous remuer risque d'aggraver votre situation. Car même si ce sale rouquin revendique être un paresseux de catégorie neuf, toujours prêt à trouver la moindre occasion pour faire une sieste dans son coin, il est quelqu'un de très sérieux dans son boulot et le fait jusqu'au bout. Même si ça le bouffe parce que vous êtes que des tête de nœud qui refusent d'écouter son avis de médecin et de vous y tenir ! Car dans le fond, malgré qu'il revendique ouvertement n'en avoir rien à foutre de votre gueule et que seul son petit nombril l'intéresse, il ne peut pas s'empêcher d'être une mère-poule, qui s'inquiète pour la santé des autres. Bien que, on peut se l'avouer, vous n'arriverez jamais à le lui faire reconnaître. Nan sérieusement, vous pensiez vraiment qu'il allait l'assumer ?

Car bien que le félin cumule bon nombre de défauts, on remarquera tout de même que sous ces aires de gamin en crise d'adolescence se trouve un homme qui garde tout de même pour lui, quelques qualités. Même si effectivement, elles sont tellement cachées sous une couche de narcissisme râleur et égocentrique, qu'il est très dur d'y faire attention. Même pour ses proches, cela s'avère compliqué de se rappeler leurs existences. Déjà, il n'est pas quelqu'un d'idiot. Sans cela, il lui aurait été très dur de réussir ses études de médecine, même si une bonne dose de sérieux dans ses études, en plus d'une motivation certaine pour s'éloigner de sa famille, ont beaucoup aidés à sa réussite. Et puis, même si il est un sale gosse, il sait s'adapter à la plupart des situations, sachant comment se comporter avec la société mondaine, comme celle des bas-quartiers. Il est un caméléon et ses talents d'acteur y sont pour quelque chose. Sa connaissance en matière de thérianthrope et son contrôle sur lui-même sont également d'un niveau très remarquable. Il maîtrise à la perfection le Blind et le Freeze, même si il lui a fallu pour cela beaucoup d'entraînement. Pour le Freeze du moins, le Blind ayant été beaucoup plus aisé pour lui. Son contrôle de l'aura est lui-même relativement impressionnant, car il est très rare de le voir perdre le contrôle de cette dernière, même dans des situations particulièrement compliquée à gérer.

Mais cela ne suffisant pas, il contrôle également très bien le déguisement de l'aura, afin de passer pour un simple tigre du Bengale, la race de tigre la plus commune et non pour ce qu'il est réellement, un tigre de Caspienne, éteint depuis plusieurs décennies. Ce qui est d'ailleurs assez étonnant, qu'il souhaite cacher cela. Car après tout, avec son égo sur-dimensionner, cela ne devrait que le gonfler d'avantage d'appartenir à une race dont il est l'unique représentant. Mais non. Maman tigre a beaucoup trop bien marqué son fils par rapport à ça pour qu'il puisse en tirer une quelconque fierté et n'aspire maintenant plus qu'à la peur qu'on le découvre et qu'on le signale à sa famille. Alors il préfère se faire passer pour un tigre du Bengale. Il ne faut pas déconner non plus, il reste bien trop orgueilleux pour essayer de se déguiser en un animal bien plus discret ! Mais cela n'est pas réellement un problème dans le sens ou de temps façon, même si il est facilement enclin à relâcher son aura et ses phéromones, il refuse de dévoiler sa forme animale. Et que si jamais il le fait, c'est pour dévoiler un homologue du Bengale et non de Caspienne.  


Physique : Notre félidé n'est pas ce que l'on pourrait appeler une force de la nature, n'étant pas douté de la musculature très caractéristique d'un souleveur d’haltères. De toutes, entretenir son corps de façon aussi excessive serait bien trop fatigant pour la feignasse qu'il est ! Pourtant, il aime voir son corps bien entretenu physiquement, bien proportionné et finalement dessiné avec des pectoraux qui font baver et l'ombre de tablette de chocolat qu'on a envie de croquer ? Car se faire désirer par les autres, il adore ça. Mais compliqué de s'entretenir quand on est quadruple fois vainqueur de procrastination. Mais c'est d'autant plus agaçant qu'on ne vienne pas baver sur son sublime corps, parce qu'il ne l'est pas ! Alors il se fait douleur, d'une certaine manière. La plus simple aurait été d'aller faire de la natation. Après tout, il est un tigre donc sait nager et ce n'est pas une activité qui épuise, en plus de faire travailler l'intégralité du corps. Mais il aime pas l'eau, ce con. Et ne vous le rappellera que trop bien.

Du coup, il a pensé à autre chose. Voire même deux ou trois en fait. Ayant plusieurs races de félins coulant dans ses veines, bien que surtout du tigre, ses instincts félidés de grimpeur font qu'il a  beaucoup apprécié, lorsqu'il a tenté de faire de l'escalade. Et du coup, même si il n'est pas friand d'exercices physiques, c'est devenu une activité sportive qu'il ne rechigne pas à faire pour entretenir son sublime corps d'athlète. Il a également pris à un moment de sa vie, quelques cours de danse rapides, en bachata et en rock qui lui permettent de pouvoir sortir accompagné à des soirées dansantes et s'amuser sans avoir l'air ridicule sur la piste de danse. Le fait de sortir participe donc également à l'entretien de son corps, sortant régulièrement pour se déhancher sur les pistes de danse. Et puis, il n'y a pas que ce genre de déhancher venant entretenir sa forme physique… Car rappelons qu'une bonne partie de jambes en l'air permet de faire travailler beaucoup de muscles et de perdre autant de calories qu'une petite course !

Ajoutez à cela qu'il fait attention à son régime alimentaire et vous obtiendrez un rouquin pas trop mal gaulé sans trop de souffrance physique ! Ou plutôt psychique dans son cas. Parce que son refus du sport, à la base, est surtout psychologique. Il nous expose donc une musculature fine et élancée qu'il n'hésite pas à exposer à la vue de tous et ne lui prêtant en rien une apparence androgyne, malgré sa tendance à régulièrement passer chez l'esthéticienne pour se faire épiler. Torse, aisselle, jambes, fesses… Tout y passe chez lui ! Il déteste voir des poils sauvages apparaître sur son corps ! La seule chose qu'il se permet de garder parce qu'il sait que beaucoup trouve ça horriblement sexy, c'est son fin duvet en-dessous du nombril et disparaissant sous sa ceinture. Parfois il s'autorise une touffe pubienne tant qu'elle est bien entretenu, mais généralement là aussi tout doit disparaître. Le rasoir tous les matins est devenu un rituel qu'il ne faut surtout pas ignorer. Rasage de prêt et eau de Cologne, tel doit être apprêté le mâle du XXIè siècle pour lui .

De manière générale, Ichiro n'est donc pas du genre à impressionner par sa carrure, mais plutôt par sa stature, possédant un port droit et parfait le faisant marcher la tête haute, ce qui lui donne une assurance naturelle tout autant qu'un certain air hautain envers les autres, ce qui agace fortement, mais colle parfaitement à sa personnalité de félin fier. Mesurant un mètre quatre-vingt-trois, il se trouve être dans la bonne moyenne des tailles, ce est également le cas pour son poids que la balance indique toujours à soixante-dix-huit kilos tout pile ! Ni plus ni moins, le félin veille à la stabilisation de son poids très régulièrement en faisant attention à sa nourriture et son activité sportive, comme expliqué plus haut pendant trois plombes. Ce poids lui permet, selon ses dires, toute l'agilité féline inscrite dans son génome, ainsi qu'une rapidité qu'il n'aurait pas, si il pesait plus lourd. Mouais. Si jamais vous avez l'occasion de l'observer sans un haut, ce qui est parfaitement probable, vous pourrez apercevoir les tatouages qui ornent son dos. De toute façon, il est déjà très difficile par nature de ne pas les remarquer, vu à quel point leur degré de discrétion est bas.

Il faut bien avouer qu'un tatouage recouvrant la plus grande majorité du dos et représentant deux tigres s'affrontant, est quelque peu voyant, même si celui-ci ne possède ne possède aucune couleur, seulement fait de noir et de nuance de gris. Et même si cette mutilation fut faite sur un coup de tête pour symboliser sa rébellion face à sa famille maternelle et après un verre de trop (et un bon paquet de milliers de yens de perdus dans l'action), Ichiro ne regrette pas son choix, ce tatouage représentant bien ce qu'il se trouve être. Son indépendance s'est également faite par le perçage de nombreux trous dans sa peau, ayant par le passé fait un certains nombre de piercings aux oreilles, trois dans le lobe droit ainsi que deux dans le lobe gauche et deux dans le cartilage de la même oreille. Il s'était également fait percer le nombril, qu'il exhibait sans aucune honte quand l'occasion se présentait. Mais une fois passé la trentaine, il a arrêté ces conneries et s'est débarrassé de nombreux bouts de ferrailles, ne gardant en bijou que deux anneaux à l'oreille gauche. Il a finalement retiré ses autres piercings, même que il en garde les trous cicatrisés qui ne se refermeront jamais et auxquels il pourra toujours repasser des bijoux, un jour.

Bon sinon, autre chose à déclarer que des résultats de charcutage lors de moment de lucidité absente ? Moui, peut être effectivement. Contrairement aux Japonais typiques, la peau du rouquin ne se trouve pas être blanche, mais d'une curieuse couleur dorée, qui se trouve être le fruit de plusieurs ethnies différentes, le félin n'ayant de japonais que le nom et même pas un huitième de son sang, son père n'étant même pas un japonais pure souche non plus. Il possède également une chevelure rousse qui, d'origine était châtain avec des reflets auburn assez important, avant de finir pas s'accentuer avec le temps, puis finir carrément roux, grâce à un pot de peinture rouge. Parce qu'Ichi aime l’excentricité, bien sûr. Ses yeux sont d'un brun très clair, que l'on ne peut même plus qualifier de couleur noisette ! Même si c'est ce qu'il y a de marquer sur sa carte d'identité, car il les yeux dorés tel que les siens, ne sont pas commun. Mais le doré n'est que du noisette clair, après tout... Et rappelle son côté félin. Il s'y dégage un peu trop régulièrement une lueur espiègle et il y est très facile d'y voir l'envie de nous posséder à l'intérieur. Car même si le félin sait très bien cacher ses émotions, lorsqu'on le connaît suffisamment, il est très simple de remarquer que la plupart de ses sentiments peuvent passer par son regard.



 
Histoire : Ichiro Kagome ne fut pas le fruit de l'amour de ses deux parents. Il n'est même pas le fruit d'un mariage arrangé entre thérianthropes pour qu'ils restent un couple unis élevant leur enfant dans des valeurs à devoir respecter. Dans un sens, c'est le cas. Il a vécu dans une famille avec certaines valeurs. Mais ses parents ne sont pas restés unis. Son père, Caelan Ryuichi Kagome, était simplement un mâle reproducteur, sélectionné par sa mère et sa famille simplement pour ses ascendants de félidés pur souche. Il n'était certes pas un gros gabarit et simplement un semi-gros gabarit, mais il y avait suffisamment de félidés poids lourds dans sa famille pour que sa semence puisse engendrer un poids lourd, en plus d'être plus fertile. Surtout que la femelle qu'il devait engrosser était elle-même une poids lourde. Emiko Torameishu était la digne héritière du clan du même nom, très ancienne famille de félidés. D'abord uniquement composés de tigres, cette famille japonaise avait cherché des partenaires aux quatre coins de l'Asie pour conserver leur pureté rayée qui rendait leur nom si fier.

Mais avec le temps et les espèces disparaissant peu à peu, ils avaient élargies les horizons en prenant comme critère de sélection tous les félins de poids lourds, avant de finalement accepter à contrecœur les arrangements avec les thérianthropes félins de semi-gros gabarits. Ce clan si fier voyait déjà comme un affront de devoir mélanger son sang à celui d'autres félins, même si ce n'étaient que des lions, des panthères et des jaguars et ils arrivaient à peine à s'y faire lorsqu'ils furent obligés de revoir une nouvelle fois à la baisse leurs exigences… Et Emiko était bien l'une des premières de son clan à devoir accepter de s'associer à un félin de semi-gros gabarit et cela ne l'enchantait guère. Elle, une si fière tigresse de Sibérie, obligée de s'accoupler avec un lynx de Terre-Neuve venu du Canada, c'était une insulte à sa personne. Surtout quand elle avait rencontré ce rustre de coupeur de bois sans aucune manière, un véritable homme des cavernes. Et devoir passer le temps de sa fécondation, mais en plus le temps de sa gestation avec lui, jusqu'à ce que son héritier vienne à naître lui était insupportable !

La cohabitation fut dure et le clan crût même que l'homme ne s'approcherait jamais de la couche de la future chef de clan. Mais finalement, un héritier mâle vint à naître, aussi roux que sa mère et aux yeux bleus de son père. Et comble du soulagement de la maîtresse du clan et du reste de sa famille, c'était une boule de poils rayée, fier descendant des tigres de poids lourd ! Mais ce à quoi les Torameishu ne s'attendaient pas, c'est de sentir l'aura d'un tigre de Caspienne, l'une des dernières races éteintes. L'une des races que le clan avait toujours désespérément voulu préserver, comme toutes les autres races disparues. Finalement le lynx n'avait pas été si inutile, même si Emiko s'attribuait tout le mérite d'avoir donné naissance à cet enfant, qui allait redorer le blason de leur clan et leur faire acquérir plus de Strate Sociale au sein de la société thérianthropique. Ce fut une lutte sans merci pour donner un nom à cet enfant. Car bien sûr, le père avait des droits sur son fils et voulait avoir son mot à dire. Et au final, c'est lui qui l'importa. Il fut nommé Ichiro. Ichiro Torameishu.

Et c'est dans ce genre de famille que grandis Ichiro, jeune sachant à peine se contrôler qui était déjà exhibé au reste de la société tel un vulgaire pantin. Le faire-valoir d'une mère qui avait finalement hérité du titre de chef de la famille et d'un père absent, retourné faire sa vie comme l'indiquait son accord avec les Torameishu. Il n'avait aucun droit sur son fils et plus rien à faire avec le clan des tigres. Le jeune garçon grandit dans une famille de charognard et entouré d'aucun amour. A part peut-être celui d'un père absent qui malgré la fin de son contrat, continuait de prendre des nouvelles. Il ne reçut jamais d'amour de sa mère. Enfin si, mais cela n'avait rien de l'amour maternel dont avait besoin un enfant. Il recevait juste un amour superficiel, comme une personne peut en donner à un objet qui lui appartient. Au mieux, l'amour qu'on donne à un animal de compagnie. Mais Ichiro courut toute son enfance après ces brides d'amour superficiel. Il apprit très vite à contrôler son aura, bien que sa mère l'exhortait à la laisser constamment libérer pour montrer à tous sa fière appartenance. Il apprit le Blind, ainsi que le Freeze également. Et plus tard, d'autres techniques qui ne lui servirait probablement à rien. Mais il se devait de les connaître, de montrer qu'il était un puissant poids lourd. Le félin se trouvait ballotté entres les humeurs et les caprices de sa mère, devenant un être totalement dénué de volonté propre. Jusqu'à ce que ça soit la goutte de trop.

Ce jour funeste où il brisa tous liens avec sa mère et sa famille. Ce jour où sa mère tira une fois de trop sur la corde et que cette dernière céda. Il venait d'avoir quinze ans et son adolescence marchait à plein régime. Il lui était encore dur de contrôler les phéromones qu'il avait commencé à émettre en même temps que sa poussée d'hormones, mais cela n'était pas le problème. Il était sexuellement mature et sa mère avait de grands projets pour lui. Pour eux. Déjà des mois que cela durait, que le jeune garçon avait vu défiler des chefs de famille de thérianthropes influentes dans leur demeure, accompagnés de leurs filles. Des mois qu'il savait que sa mère allait le marier à l'une d'entre elles et il s'y était plié, malgré son peu d'intérêt pour les femmes. Il avait toujours été plutôt émoustillé par le derrière du jardinier, mais cela n'était pas ce qui aurait empêché les projets de sa mère. A la limite, peut-être aurait-elle concédé à lui trouver une épouse un peu plus masculine ? Un androgynus peut-être ? Mais cela n'aurait en rien empêché ce qu'elle avait prévu de faire.

Les poids lourds sont des polygames, en particulier les félins. Et même si on lui avait trouvé une épouse, son devoir lui incombait d'avoir le plus de descendance possible. Pour subvenir à la prospérité du clan, même si seulement un aîné vigoureux qu'il aurait eut avec son épouse officielle serait le prochain héritier. Et cela aurait été gâcher sa semence si précieuse de ne la conserver que pour une seule personne. Et de l'argent gâché, surtout pour une famille qui commençait peu à peu à perdre en prestige. Et même si il n'était pas attiré par les femelles, l'enfant, en telle demande d'attention de la part de sa mère, se serait volontiers plié à sa volonté si elle lui avait demandé de s'accoupler avec toutes ses femelles, pour avoir plus de reconnaissance et d'amour de sa part. Mais elle ne le lui demanda pas. Non, elle le piégea. Lui faisant boire un thé à la cataire en toute innocence, qui le drogua. On sait quel effet a la cataire sur les félidés, c'était de l'herbe à chat, après tout. Les domestiques le déplacèrent dans une des chambres pour les invités redécorée pour l'occasion et l’apprêtèrent pour que sa semence soit vendue aux enchères.

En réalité, les enchères avaient déjà été terminée depuis bien longtemps sans que l'adolescent ne le sache et ceux qui avaient gagnés ces dernières venaient simplement récupérer ce qu'ils venaient d'acheter. Enfin, leurs filles venaient le récupérer pour eux. Cela brisa définitivement les derniers liens qui unissaient le jeune tigre à sa mère. Si seulement elle lui en avait parlé et ordonné de leur faire… Même si il n'appréciait guère cette idée, il l'aurait fait. Il était son pantin, après tout. Mais qu'elle le prenne au piège comme cela… Cela avait été de trop. Et l'intense expression de souffrance qu'il montra à cette dernière n'y changea rien. Elle lui avait donné la vie, il pouvait bien lui rendre ce service, non ? Et le calvaire de l'enfant dura  toute l'après midi et la soirée. Continuellement drogué, sa mère venant le voir, satisfaite comme un chat ayant attrapé une souris, après chaque passage d'une demoiselle, en même temps que les domestiques venaient le laver et remettre la chambre en état pour une nouvelle venue. Mais l'enfant n'était plus là, caché dans un coin de sa tête pour se protéger de la situation dont on l'accablait.

Après cela, Ichiro se referma sur lui-même refusant de quitter sa chambre, même pour venir manger, les domestiques de la famille lui apportant son repas. Les Torameishu ne s'en souciaient guère, se disant que ça lui passerait vite. Que la prochaine fois, la situation ne le dérangerait plus et qu'il irait de lui-même, sans se faire droguer. Sa mère avait vu ses coups d’œil sur les hommes du manoir et se disait qu'elle arrangerait même quelques rencontres avec des androgynus, pour lui faire plaisir ! Comme si cette attention de sa part, faisait d'elle une bonne mère. Elle ne comprenait pas pourquoi son fils refusait qu'elle s'approche de lui et qu'il piquait désormais des crises dès qu'elle osait pénétrer dans sa chambre. Lui qui avait été si docile jusqu'à présent ! Elle qui se donnait tant de mal pour lui faire plaisir en trouvant des androgynus à son goût ! Son fils était un ingrat ! Mais peut-être était-ce également l'âge rebelle qui arrivait. Elle ne s'en soucia donc guère, jusqu'à ce que l'enfant disparaisse.

Ichiro partit ainsi donc vivre chez son père, du jour au lendemain sans prévenir personne. Naturellement, sa mère le retrouva bien vite et mit tout en œuvre pour le récupérer, faisant même appelle à des avocats. Mais même si les mères porteuses et les étalons reproducteurs étaient monnaie courante dans la société thérianthropique, le fait qu'Emiko ait drogué son fils pour arriver à ses fins et qu'elle ne lui ait même pas demandé son avis, lui fit perdre sa garde. Si seulement elle le lui avait demandé, tout n'aurait pas été si compliqué… Après tout, il aurait tout fait pour elle et il serait resté à jamais son petit pantin… Elle fut folle de rage de perdre ainsi son fils et par la même occasion, sa semence si rare, qu'elle pouvait vendre si chère… Caelan obtint donc la garde d'Ichiro, qui en profita pour demander à changer de nom et obtenir celui de son géniteur. Ichiro Kagome.  Et c'est durant la période où il vécut avec son père, qu'il apprit le déguisement de l'aura avec ce dernier, et il se fit passer à partir de ce moment-là pour un tigre du Bengale.

Un tigre de Sibérie aurait été plus adapté pour lui, étant donné le lien de parenté très fort de cette sous-espèce avec le tigre de Caspienne, qui faisait que parfois, on les confondait. D'autant plus que sa mère elle-même était une tigresse de Sibérie. Mais c'était l'une des raisons qui justifia son choix. Il ne voulait pas ressembler à sa mère. Et puis, le tigre du Bengale était le tigre le plus commun que l'on pouvait trouver, malgré le fait qu'il restait rare. Mais moins que ce qu'il était déjà. Même si, si il avait voulu plus de tranquillité, il aurait dû apprendre à se faire passer pour un lynx, comme son père. Cela lui aurait valu plus de discrétion. Mais le rouquin restait un gosse fier qui aimait montrer sa puissance. Rendant son choix de cacher sa rareté assez contradictoire avec le désire de se montrer. Mais les traumatismes et les peurs ne sont jamais rationnels... C'est pour ça que son choix de vouloir se cacher mais en gardant un animal assez remarquable pouvaient le faire passer pour quelque peu crétin aux yeux de certains. Comme à ceux de son demi-frère, par exemple.

Cependant, Ichiro se sentait de trop dans cette famille qu'était celle de son géniteur, qui avait depuis longtemps refait sa vie avec un homme et avec qui il avait eu un fils, Kaito. Avec lequel il ne s'entendait pas du tout, malgré les efforts qu'il faisait pour rendre la cohabitation agréable pour tous. Mais avec un sale gamin égocentrique et homophobe entre les pattes, c'était très compliqué de ne pas faire un massacre de temps à autre. Alors dès qu'il fut diplômé à la fin du lycée, il partit faire des études de médecine, avec dans l'optique de se trouver des petits boulots, pour pouvoir subvenir à ses besoins et ne déranger personne. Mais son père le talocha à cette idée et lui ordonna de se concentrer sur ses études sans ne s'inquiéter de rien, qu'il tenait à les payer pour lui. La première année il s'en donna donc à cœur joie, découvrant les folles soirées universitaires où pleuvait l'alcool et les relations d'un soir. Puis petit à petit, il se ressaisit en manquant de peu de rater sa première année et se plongea pleinement dans ses études. Il dépendait de l'argent de son père, qui avait déjà fait beaucoup pour lui et refusait donc d'en abuser.

Il termina donc ses études en médecine générale au bout des sept ans minimum demandé à l'âge de vingt-cinq ans et travailla dans une petite clinique pour singe pendant deux ans, avant de finalement se mettre à son propre compte et d'ouvrir une clinique spécialement pour les thérianthropes à Kyushu. Il prospéra ainsi pendant deux autres années, soignant ses petits patients la journée, draguant tous les porteurs d'un chromosome Y qui passaient et se levant quelques matins par semaines avec la gueule de boite. Il avait une vie paisible. Jusqu'à ce qu'il le croise. Akira Fukashi. Dès le départ ce gars ne lui paru pas net. Il le croisa quelques fois dans la rue sans y faire grandement attention, jusqu'à ce qu'il finisse blessé au milieu de sa clinique, peu avant la fermeture. Ichiro soigna donc ainsi l'homme blessé par balle, qui finit par lui dire son identité. Le chef du Lycoris Sanglant. Fuyant les problèmes comme la peste, le rouquin ne voulut plus rien à voir à faire avec cet homme, une fois celui-ci remit sur pied. Mais le blond commença à le harceler, afin qu'il rejoigne son groupe en tant que médecin illégal, pour soigner ses membres. Et finalement il eut le félin à l'usure, qui accepta finalement afin que le crocodile ne cesse de le harceler.

Les deux hommes finirent même peu à peu par se rapprocher l'un de l'autre, le tigre devenant l'une des principale source de chaleur pour le reptile de sang pur et finalement, leur relation devint vite charnel. Même si le caractère du rouquin fit que leurs premiers ébats furent très houleux et que ce fut plus ou moins contre sa volonté qu'il finit dominé, alors qu'il avait jusque là toujours été un seme. Pour une première fois, ce fut assez chaotique ! Mais il découvrit des sensations qui jusque-là, lui étaient encore inconnues… Mais son égo surdimensionné fit qu'il refusa d'admettre qu'il adorait ça et leur relation fut très conflictuelle sur le plan charnel pour savoir lequel des deux dominerait l'autre… Cela dura quelque temps, comme ça. Presque trois ans, pour être précis. Et le félin commença à développer des sentiments qu'il ne se connaissait pas, jusqu'alors. Il prit peur et refusant d'admettre qu'Akira réveillait cela en lui, il finit par couper brutalement court à leur relation, pour ne pas avoir à regarder ses sentiments en face. La dernière personne qu'il avait profondément aimé, c'était servit de lui après tout. Alors il préféra s'en protéger en s'éloignant du crocodile et en étouffant ces sentiments naissant, avant qu'ils ne viennent à nouveau le détruire.

Il continua néanmoins à travailler pour le Lycoris, soignant ses membres la nuit quand on avait besoin de lui et faisant son travail de médecin généraliste pour thérianthropes le jour, sortant, buvant et couchant avec les hommes qui lui plaisaient en soirée. La routine habituelle.




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