Maelys Moore ” | Prénom : Maelys Nom : Moore Surnom : Mae(l) ou Ren Date de Naissance : 7 Juillet Âge : 22 Ans Sexe : ♀ Origines : Japonaise-Américaine Nationalité : Japonaise Orientation Sexuelle : Bisexuelle Emploi : Employée dans le Salon de Tatouage (si possible serveuse pour finir le mois) Ascendances : Singes
|
Identification
Goût : Mon oncle avait l’habitude de dire avec un grand sourire, que j’étais une enfant difficile, alors qu’il m’ébouriffait les cheveux. Tout simplement parce que je n’aimais pas grand chose et c’est toujours le cas, maintenant. Pourtant ce n’est pas le terme exacte, ce n’est pas que je n’aime pas mais plutôt que je suis indifférente. Cela ne me ravi pas tout simplement mais les gens ont difficile à comprendre. C’est même personne n’hésite pas à sourire et rire de la liste des choses qu’ils présument que je déteste. Sans penser à la passion que j’éprouve des choses que j’aime.
Pourtant, je ne cache pas ce qui me fait plaisir mais personne ne semble jamais sans apercevoir. Vu, que je recevais toujours des choses qui n’était pas susceptible de me plaire, peut-être ne faisaient-ils pas d’effort parce que j’étais sensé ne rien aimer ? Ou alors que leur attention n’était pas suffisante à mon égard mais ils auraient refusé de le reconnaître.
Parfois, j’ai envie de me lever d’un bond et de leur crier ‘’Regardez moi ! N’est-ce pas évident que j’aime le dessin alors que je ne vais jamais nulle part sans un crayon et un blocs-notes. Les fleurs de lotus, le noir et le rouge, les fraises, les bijoux fantaisistes ?!’’ Que faudrait-il que je fasse pour qu’ils s’en rendent compte autrement ? Me balader nue ? Parfois je me dis peut-être parce qu’ils refusent de voir que j’ai grandi, sauf que mes goûts non pas changer. Jamais.
Caractère : Il est toujours difficile de se décrire, parce qu’on a tendance à dire plutôt ses défauts que ses qualités. Et je ne suis pas différente de la plupart des gens. J’aime les choses que j’aime, je n’ai jamais cherché à me fondre dans la masse mais je ne tiens pas à rester en retrait non plus. Mon apparence n’est pas pour montrer une attitude rebelle ou essayer de délivrer un message. J’essaie juste d’être moi-même, ce n’est pas toujours une chose facile. Bien sûr, ce n’est pas toujours bien perçu parce que j’ai tendance à être trop franche quand je parle. Je ne dis pas souvent mot mais quand cela arrive, ce n’est jamais à la légère. J’aime prendre soin des autres même si ce n’est qu’une petite attention ou leur prêter une oreille. Pourtant je cache la plupart de mes sentiments derrière un épais mur qui me sépare des autres et j’essaie que ceux-ci reste bien derrière. Je ne suis pas forte, c’est même tout le contraire. J’ai peur de souffrir, j’ai l’impression que si mon cœur reçoit encore un seul bleu ou une blessure, il va se briser en mille morceaux. Ainsi même si je me montre plutôt naturelle envers mon entourage, ne répriment pas un sourire ou un rire, quand celui-ci me monte aux lèvres, je tiens quand même les autres éloigné. Je ne suis pas à l’aise avec le contact physique pour cette raison et dans ses moments là, quand un client me touche sans autorisation, mon corps bouge par automatisme. Pourtant, je ne suis pas d’une nature violente mais cela ne m’empêche pas de penser que parfois un bon coup de poing règle plus de chose que les mots.
Physique : Je crois qu’il est plus facile de laisser parler le miroir, plutôt, de dire ce qu’on pense de son physique. Celui-ci n’a-t-il pas une vision plus juste et non déformée ? A moins, d’être dans un palais des glaces bien entendu. Ainsi, chaque matin, celui-ci observe mes cheveux fins de couleur noire qui encadre mon visage et ne dépasse pas ma nuque. Assez court mais sans pour autant être une coupe masculine. Une peau blanche issue de ma nationalité américaine et du manque de lumière, vu que je ne sors pas beaucoup ou alors essentiellement la nuit. Des yeux bruns avec un mélange de vert, selon la luminosité, mes prunelles prennent plus une teinte que l’autre. Mes paupières ne sont pas souvent nue, un maquillage selon les vêtements que je porte. Un coup de crayon pour ajouté une certaine intensité à mon regard. Un nez qui est en harmonie avec mon visage, sans aucun point de beauté. Des lèvres souvent munie de rouge à lèvres de différente couleur. Mes oreilles bien apparentes à cause de ma coupe, possèdent plusieurs piercings. Mon cou est lui aussi rarement nu, je porte des cravates, des colliers à clou ou divers colliers fantaisiste.
Je suis particulièrement fière de mes mains, mes doigts sont long et fin, ceux-ci peuvent ainsi tenir avec facilité des crayons, pinceaux et autres matériel de dessin.
Sans pour autant faire attention à la mode, je prends soin de mon apparence. J’accorde mes tenues avec les saisons ainsi que le lieu dans lequel je vais me rendre. En été, on peut souvent apercevoir mes bras et ont aperçoit avec une fleur de lotus en guise de tatouage.
Révélation
Histoire : Aussi loin que je me souviens, j’ai toujours entendu mes parents se disputer. Ceux-ci ne pouvaient se retrouver dans la même pièce sans que cela ne tourne au conflit. Je me réfugiais souvent sous ma couette, les deux mains sur les oreilles, afin de ne plus les entendre. Je ne prenais presque plus mes repas avec eux ou descendait tard le soir pour avoir quelques chose dans l’estomac. Je vivais dans cette tension constante et je ne pouvais le dire à personne. Ma famille était persuader que mes parents étaient le couple idéal et parfait, car ils savaient faire bonne figure en public. Chaque fois que j’entendais ma grand-mère me raconté que leur mariage avait été fait dans l’amour. Qu’on ne pouvait que voir l’affection entre eux, c’était presque palpable. J’avais juste envie de pleurer. Je ne pouvais m’empêcher de me demander si ce n’était pas ma faute, parce qu’est ce qui aurait pu ternir un si bel amour ?
J’avais dix ans, quand mes parents choisissaient de divorcé, à la surprise général, j’étais la seule à savoir que leur couple était déchiré depuis longtemps. Peut-être étais-ce parce qu’on était devenu des étranger les un pour les autres, que je ne ressentis ni peine ni soulagement quand les papiers furent signé. Ma mère décida qu’il était temps de retourner dans son pays natal, elle m’emmena avec elle. J’appris plus tard, qu’elle avait fait cela uniquement parce qu’elle espérait pouvoir toucher une pension alimentaire mais mon père ne lui donna pas un sous. Il avait de très bon avocat et ma mère avait toujours été assez frivole. Elle dépensait l’argent alors que celui-ci venait à peine de rentrer, ne sachant pas gérer un budget. Cependant, il fut contraint quand même de me verser une certaine somme sur un compte bloqué jusqu'à ma majorité, chose que je ne pris que connaissance plus tard également.
De retour dans sa ville natale, ma mère sans le sous et la rue fut heureusement recueilli par son frère et sa femme. Puisque ceux-ci ne peuvent pas avoir d’enfant, ils étaient ravis que nous venions nous installer chez eux. Du moins dans un premier temps, avant que ma mère ne prenne de salle habitude. Elle sortait assez souvent et revenait avec une odeur très forte sur elle, elle souriait et riait souvent. Cela me faisait plaisir au début, cela faisait tellement longtemps que je n’avais pas vu comme ça. Par contre, elle n’était que comme ça, quand elle rentrait avec cette étrange odeur. Je ne comprenais pas trop à l’époque mais fatigué de ce comportement, mon oncle, avait fini par la mettre à la porte.
J’aurai pu rester avec eux, ils ne demandaient que ça. J’avais déjà onze ans mais je ne pouvais me résoudre à être séparé de ma mère. Peut-être que si j’avais su, que ça vie aurait été plus facile sans moi, j’aurai accepté. Mais j’ignorais tous cela, on n’avait jamais prit le temps de m’expliquer et je ne savais toujours pas, la raison pour laquelle ma mère m’avait emmené avec elle. Je pensais, qu’elle voulait de moi, contrairement de mon père auquel je n’avais jamais de nouvelle.
A partir de cette époque, je vécu la plupart du temps dans la rue. Ma mère faisait venir dans notre appartement de fortune diverses hommes et elle ne tenait pas à se que je reste dans ses pieds. Ainsi, je passais mes journées à l’extérieur, c’est comme ça, que je fis la connaissance d’un vieux peintre. Il me donna mon premier bloc-notes et crayon ainsi que tout son savoir. Je venais le voir à chaque fois que ma mère était avec un nouvel homme et c’était souvent. Je ne cherchais pas à savoir ce qu’elle faisait, une petite voix dans ma tête me disait qu’il ne valait mieux pas.
Je n’ai jamais manquée de rien, ma mère se chargeait de trouver de l’argent et même si la plupart partait dans la boisson, la cigarette et parfois même la drogue, il restait assez pour manger. De plus, même si mon oncle avait renié sa sœur, il tenait quand même à ce que je porte toujours des beaux habits et n’hésitait pas à prendre en charge ma scolarité. Je pouvais aller les voir quand je le souhaitais. Quand je ne dessinais pas, je prenais soin de ma mère. Je faisais en sorte qu’elle mange bien, que l’appartement soit plus ou moins propre et qu’elle avait toujours des vêtements lavé.
Une fois que j’eus seize ans, je pris un petit job comme serveuse afin d’arrondir les fins de mois et de soulager un peu ma mère comme mon oncle et ma tante, essayant de prendre en charge une partie de mes frais scolaire. J’arrêtai l’école après le lycée, ne souhaitant pas aller dans une école d’art comme me conseillait ma famille. Estimant que je pouvais dessiner sans avoir besoin de faire des hautes études.
Il ne fallut pas longtemps pour que je trouve une place dans le salon de tatouage de la ville, le patron aimant particulièrement mes motifs. Il me paya la formation, parce que dessiner sur un papier et sur la peau ce n’était pas la même chose. Pendant celle-ci, je me contentais de présenter mes croquis inventant les clients à venir ou alors à refaire la vitrine ou repeindre les murs du bâtiment. Nous avons fêtez mon diplôme par le tatouage que je porte, la fleur de lotus, ma préféré. Il y a presque deux ans maintenant.
Ce serai faux de dire que cela n’était pas toujours facile mais je ne peux pas dire que ma vie fut particulièrement difficile non plus.
Information
Autre chose : Il y a un gros soucis de codage quand on fait le C/C
As-tu bien lu le règlement? : Toujours avant de m'inscrire et une autre pour chercher le code !
Le forum est ... *Passage coup de vent d'un admin aimant être en retard en cours 8D*Comment as-tu découvert ce forum? : Google
C'est quoi ton avatar ? : Nana Osakki (NANA)
As-tu lu les manga Love Pistols ? : Regardé les OAVs ? : Changerais-tu quelque chose? : Le codage ?