Chandra Mane Chandiago ” | Prénom : Chandra Mane Nom : Chandiago Surnom : Channy Date de naissance : 24 juin Âge : 30 ans Sexe : Homme Origines : Nippones et Malaisiennes Nationalité : Japonaise Orientation sexuelle : Fluide Emploi : Avenger - Technicien en identification criminelle Groupe : Nuit Ascendances : Atavique non-révélé - Ours malais de Malaisie - Heractos malayanus malayanus - Premium |
Identification
Goût : Channy adore positivement un certain nombre de choses. D'abord, toutes les sucreries possibles et imaginables, n'hésitant pas à expérimenter. Il a la carte de fidélité de toutes les pâtisseries et confiseries de la ville. Son sport préféré est l'escalade. Rien, selon lui, ne vaut de regarder le monde de haut. Et il est aussi une vraie fashion-victim. La mode est un de ses grands dada, et les extensions de cheveux, les perruques, les lentilles, les faux ongles, même, parfois, sont des moyens auxquels il recourt quand l'envie lui en prend.
En revanche, il déteste absolument tout ce qui est amer, le café, le Lycoris, le désordre, les malpolis, et surtout les misogynes. Rien ne l'agace plus qu'un homme irrespectueux envers une femme. La chaleur l’incommode également. Ah, et les chaussures qui lui font mal aux pieds, aussi.
Caractère : Fab. C’est probablement ce qui le définit le mieux. Pas son style, bien qu’il puisse être flamboyant, mais sa personnalité. Chandra est l’arbre qui cache la forêt. Exubérant de joie, de sourires, de conseils, d’amitié facile, de compréhension, pour cacher une détermination sans faille à exterminer le Lycoris Sanglant, à n’importe quel prix. Il n’est pas particulièrement une brute sans cœur et il ne prend absolument aucun plaisir au massacre d’innocents nécessaire pour atteindre leur objectif global. Mais leur œuvre est celle du bien, et de cela il n’a aucun doute.
Le jeune homme est quelqu’un qui aime l’idée d’être amoureux, mais est en fait un bien meilleur ami qu’amant. Plus concentré sur ses objectifs et sa propre personne que les autres, il lui arrive de ne pas prioriser correctement. Il est extrêmement superficiel. Pas de grands épanchements, pas d’exposition de sa vie, pas d’échanges sur son travail, il n’est qu’apparence pour le monde. Après tout, qui veut entendre parler du dernier suicidé qu’il a dû gratter de la vitre d’un train ?
Il est aussi extrêmement rancunier, et parfois pour les plus petites choses. Gare à celui qui pique le dernier gâteau au miel, il se retrouvera certainement avec une mauvaise surprise dans son casier avant la fin de l’année. Il est lent à s’énerver, mais quand il a atteint ce stade, c’est comme une flaque de pétrole en pleine marée noire. Elle colle à tout et est presque impossible à retirer, laissant des résidus plutôt malsains dans son sillage.
Physique : Au naturel, Channy n’aurait rien d’absolument particulier. Il n’est pas très grand, atteignant difficilement le mètre soixante-dix. Musclé par des années de pratique du silat, puis d’autres arts martiaux, il n’est pas aussi maigre qu’il en a l’air, atteignant facilement les soixante-trois kilos. Il marche comme une personne absolument sure d’elle, sans aucune honte, roulant un peu des hanches malgré tout. Ses cheveux sont d’un brun clair, avec des reflets un peu dorés, et ses yeux d’un noir assez profond. Rien de spécial, donc, malgré son profil assez aristocratique, et son nez droit et long.
Cependant, rien de naturel chez lui, désormais. Il porte ses cheveux longs, et roses, cachés sous une perruque ou sa charlotte quand il est au travail, et des lentilles de contact, une bleu, une verte, parfois, une touche de maquillage, d’ailleurs. Extravagant dans ses vêtements, il porte toujours des boucles d’oreille tombantes et visibles, des couleurs flashy, des chaussures travaillées, parfois avec des talons. Rien ne le surprend, rien ne lui fait peur.
Bien entendu, rien de cela n’est visible quand il est en mission pour les Avengers, où le noir devient son ami, et la discrétion son allié. Sa voix douce et légèrement accentuée n’avait rien de son volume habituel, et il pouvait devenir une arme, si tel était ce qui lui était demandé.
Révélation
Histoire : Chandra est né en Malaisie, dans l’état de Negeri Sembilan, d’une mère Minangkabau, et d’un père japonais. Installé là pour le travail, celui-ci fut particulièrement troublé par cette société matrilinéaire. Il laissa cependant faire, même lorsque Chandra fut conduit au surau, la maison collective où tout petit garçon était élevé dès ses sept ans. A l’aube de ses dix ans, cependant, il en eut assez, effrayé par son manque de pouvoir de décision. Il vola son fils pendant la nuit, et quitta le pays, retournant au Japon, où il s’installa, et se maria à une divorcée qui avait déjà un enfant de deux ans l’aîné du jeune malaisien. Ce que tout le monde ignorait, évidemment, était la présence de thérianthropes dans l’arbre généalogique de celui-ci, et personne ne l’apprit, si loin de sa terre natale.
Telle était l’histoire vu du point de vue de son père. Un homme qui pensait avoir bien fait en ramenant son garçon à la civilisation. Il n’avait pas compté sur les valeurs qu’il avait déjà absorbées, le respect total pour les femmes, et la religion traditionnelle, le sunnisme. Chandra lui en voulut énormément de l’avoir arraché à ses terres et à sa mère, et ce fut la première fois qu’il comprit qu’il était quelqu’un de vraiment rancunier. En froid avec son géniteur, respectueusement poli mais sans amour pour sa belle-mère qui ne le comprenait pas et cherchait toujours à valoriser son propre enfant, il se tourna vers le dernier membre de sa maison, Hatori. C’était un enfant brillant. Pas intellectuellement, particulièrement, mais charismatique. Il attirait Chandra comme la lampe le moustique. Ils s’entendirent rapidement bien, même si le jeune japonais était un peu moins poli et respectueux qu’attendu. Ils dégénérèrent tous les deux, pendant un moment, avant que le malaisien commence à prendre peur. Cela allait trop loin pour lui.
Par loyauté, stupidité, peu importait, il n’en dit rien à personne, même quand Hatori commença à sombrer de plus en plus loin dans le gang et la malhonnêteté, à l'adolescence. Cela ne fit que le convaincre de rentrer dans les forces de l’ordre pour empêcher ce genre de chose. Le contraste, évidemment. Les études scientifiques lui convenaient parfaitement, et il fit celles-ci avant de passer le concours, quand il eut vingt-trois ans. Aider dans les laboratoires était bien plus sa vocation qu’être sur le terrain. Un peu trop tendre pour ça. Il se découvrit aussi peu à peu, sexuellement notamment, s’affirmant de plus en plus, et sans honte.
Il venait d'entrer en poste quand il apprit la mort brutale de son frère à la main du Lycoris Sanglant, quelques années plus tôt. Son gang avait été éradiqué par celui-ci quand ils firent leur "ménage", tuant sans aucun état-d'âme. Il n'avait pas été surpris de ne pas avoir de nouvelles régulières de son frère, qui ne communiquait que de façon sporadique avec lui. Il ne l’aurait jamais su autrement, mais être dans la police lui donna accès à bien plus d’informations qu’il n’en aurait probablement voulu. Et pour la première fois, il comprit la haine. Jamais n’avait-il ressenti une telle chose. Certes, son frère avait sombré dans l'illégalité, dans un environnement malsain. Mais il restait son frère. Il l'avait aimé plus que tout. Il travailla encore plus, mais la police n’arrivait à rien, n’allait nulle part. Il chercha, désespérément, ce qu’il pouvait faire de plus. Il découvrit les Avengers, fut recruté en leur vendant son poste. Il pouvait surveiller les avancées de la police, leur donner des informations sur les enquêtes en cours. Il était une âme douce, mais il ne le resta pas longtemps. Il ferait ce qu’il y aurait à faire.
Information
Autre chose : Je n’aurai pas forcément une activité extrême parce que je travaille
As-tu bien lu le règlement? : Oui
Comment as-tu découvert ce forum? : Bouche à oreille
C'est quoi ton avatar ? : Souza Samonji de Touken Ranbu
As-tu lu les manga Love Pistols ? : Non
Regardé les OAVs ? : Non plus
Changerais-tu quelque chose? : Je ne suis pas certain d’avoir compris le système des gabarits, mais pas certain non plus qu’il y ait une façon plus simple de l’expliquer.