Sköhll D. Oto ” | Prénom : Sköhll, Dar Nom : Oto Surnom : S., Skull, Sko ou Skoll comme la bière/ Date de naissance : 23 juillet Âge : 23 ans Sexe : Gars. La preuve est dans son froc si vous voulez/die Origines : Son père est japonais et sa mère marocaine et norvégienne. Nationalité : Japonais Orientation sexuelle : Pansexuelle, ambivalent penchant vers le dominant Emploi : Gigolo au Host-club le soir et chanteur/musicien le jour Groupe : Crépuscule Race : Semi-gros gabarit, hyène rayée de Barbarie (Hyaena hyaena barbara) |
Identification
Goût : Le jeune homme n’a pas de goûts particulièrement étonnants. Il apprécie ce dont on se doute en le dévisageant. Ai-je vraiment besoin d’expliciter? …Bon, ok mais c’est juste pour vos beaux yeux.
Nous avons affaire à un adepte de la lecture, quelle qu’elle soit. Avec lui, tout y passe, roman, documentaire, manga, poésie, tout, absolument tout. Fait étrange lorsqu’on connait son histoire, Sköhll possède une soif de connaissance… intraitable. Il porte un amour fou à la musique dans toutes ses formes, autant aux instruments qu’au chant et à la composition. Il est capable de passer des heures et des heures assis sur son lit à tracer des demi-croches sur une portée vierge et lorsqu’il retrouve la scène, c’est un véritable feu d’artifice qui explose dans ses entrailles.
Malgré sa poker face quasi-permanente, le Norvégien ne refusera certainement pas de traîner dans des soirées pour s’amuser. Il consomme surement un peu trop d’alcool pour son âge et se balade toujours avec un paquet de clopes à moitié vide dans sa veste. Sans oublier les quelques sachets d’autres substances qui se baladent en solitaire dans sa chambre. Il aime la chaleur de la peau d’une femme, le tracé des muscles d’un homme. Sköhll ne regarde pas ce qui passe dans son lit, parce que Sköhll s’en fout.
Il est constamment à la recherche d’émotions et de sensations fortes, surtout si elles sont provoquées par un individu extérieur…c’est un coup à faire monter une forme d’excitation grisante en lui. L‘adrénaline, il adore ça. Mais perdre, ça jamais. Pour lui, l’enfer serait de retourner vivre chez ses parents. Pas qu’il ne les aime pas, non mais c’est fini cette époque et il ne s’entend plus assez bien avec son frère pour ça.
De plus la hyène ne supporte pas les bruits trop forts, comme une personne qui crie pour se donner en spectacle. Il déteste l’odeur de la pluie alors que celle du sang l’excite dans certaines situations. Il fuit les lieux trop lumineux mais frissonne dans le noir complet. Les orages lui provoquent des cauchemars. Dans ses plus beaux rêves, le gris dormirait de longues heures sans se réveiller, sans terreur nocturne qui le taraude toutes les deux heures environs. Mais c’est dans ses insomnies qu’il compose le mieux…
Vous voulez un petit plus ? Il est dingue des jeux de cartes, aucune chance de le battre là-dessus. D'ailleurs il collectionne les jeux de cartes et les dés.
Caractère :Sköhll c'est le jeu. Sköhll c’est l’indifférence.
Son monde se résume à trois choses : Le club. La musique. Le lui tout entier.
Il n’y a qu’à faire les choses dans l’ordre. Le Norvégien est un gars distant, une personnification de l’indifférence, un « je m’en foutiste » né. Il n'y a pas de raison particulière, simplement, Sko' a compris qu'il était plus simple de s'en foutre que de se prendre la tête avec un million de choses capable de le blesser. Cela lui sert également de bouclier, pour cacher le fait que quelque chose peut l'atteindre, même si cela en devient handicapant. Quand il pose son regard bichrome sur vous, ses lueurs dérangeantes ne brillent que d’ennui. Vous aurez la nette impression qu’il vous juge mais à vrai dire, il analyse, il vous jauge.
Le gris n’est pas particulièrement mauvais. Un peu radin peut-être, quelque peu orgueilleux parfois, joueur souvent. Ah oui. Autant le jeune homme est d’une indifférence rare, autant si quelque chose pique sa curiosité, il ne le lâchera pas. Enfin tant que le syndrome de la flemme n’aura pas fait son grand retour. Oui parce que c'est certainement ce mot qui décrit S en général. C'est un larve, une vrai. Mais il aime l'argent donc il se lève volontiers pour aller travailler.
Et quand il joue… Il joue plutôt bien. Dans votre sens, puis dans le sien. Il tentera de vous attirer, vous attiser d’une quelconque manière. La hyène n’est pas pudique et n’a guère peur de se tâcher les doigts. Il fera toujours en sorte d’être gagnant mais prendra des risques. Frôler l'échec est tellement excitant…
C'est cet état d'esprit qu’il reproduit lorsque il bosse en tant que gigolo, même si ce terme ne lui plaît pas beaucoup. Plus souriant, plus attractif, un brin mystérieux... Un cocktail qui fait fureur. Mais une façade totale, c'est fictif et un oeil avisé se rendra facilement compte de la supercherie. La bonne humeur et la complicité sont au rendez-vous. Si vous le suivez Host-Club, vous remarquerez qu'il est bien plus tactile qu'à l'extérieur, qu'il paraît plus... Ouvert. Et son langage haché devient beaucoup plus fluide et distinctif. Ne vous laissez pas abuser par son sourire ravageur... Il n'est là pour votre plaisir qu'en apparence.
La hyène peut se montrer sympathique et protectrice, un peu trop parfois. L’un des seuls loisirs qu’il s’accorde est la pratique de la musique. Le jeune homme a appris un bon nombre d’instruments, dont même lui ne saurait faire la liste et ce depuis qu'il est en âge de savoir lire. Au lieu d’aimer partager son savoir et sa passion pour ce loisir si particulier et pourtant si apprécié du grand public, Sköhll garde jalousement ce trésor au fond de lui, allant jusqu’à être jaloux de voir d’autres musiciens plus habiles que lui. C’est plus qu’un loisir pour lui, c’est un morceau de sa vie, de son univers, et c’est pour ça qu’il fera tout pour être le meilleur dans ce domaine.
Il y a sûrement énormément d’autres choses à raconter sur Sköhll, son lunatisme, son territorialisme, mais son je-m’en-foutiste général également. Il sera différent avec chaque personne qu’il croise bien qu’en apparence il paraîtra toujours le même. Il a ce trait de caractère qui le fait changer de comportement avec les individus. C’est certainement le gars le plus ouvert que vous rencontrerez dans toute votre vie, le plus compréhensif aussi même s’il ne le montrera pas au premier abord. Sympa, mais pas con. Il ne faut pas non plus essayer de lui prendre la tête car même si la hyène est contre la violence gratuite, elle peut se montrer sournoise et n’hésitera pas à mordre par derrière. Pour lui toutes les manières de rester en vie sont bonnes, il ne prend pas en compte le courage ou la dignité. Il assume d’être un être humain, et de ce fait d’être une entité égoïste, égocentrique, mais tellement complexe. Et si vous avez la moindre question à lui poser sur lui sur le monde ou sur sa façon de voir les choses, ne faites pas dans la subtilité, ne faites pas de détours, ça ne servira à rien a part à le fermer.
Physique : La première chose à dire chez Sköhll concerne sa taille. Haut sur pattes, assez musclé à son goût - suffisamment pour coller une droite ou deux mais clairement pas pour faire le déménageur. A noter qu'il ne prend pas la peine d'entretenir sa musculature, n'essayez même pas de lui faire faire du sport... -, le Norvégien possède une silhouette élancée ornée de clavicules saillantes, tout autant que ses vertébres et les os de son bassin. Un mètre quatre-vingt pour soixante-trois kilos et pas un pète de gras, certainement dû au fait que la consommation de bouffe en grande quantité n’est pas son fort.
Parlons de son visage. Sous sa tignasse noire teintée en grise, brillent deux puits profonds. Leur particularité? Ils arborent une teinte étrange, vert vif à droite (couleur naturelle? Je ne crois pas, cette lentille est là dans le simple but de masquer une hétérochromie centrale qu'il trouve particulièrement disgracieuse), et bleu quasiment gris à gauche. Leurs profondeurs soulignent l'attention qu'il porte à tout ce sur quoi il les pose. Lorsque Sköhll pose ses yeux sur vous, il est difficile de ne pas soutenir son regard, car il se montre souvent des plus captivants. Surement du fait qu'il soit aussi peu expressif.
Ses deux puits bicolores sont coiffés d'une paire de sourcils noirs, longs, et fins comme ceux des actrices. Ils s'arquent très peu, mais sont capable de se froncer avec une rapidité déconcertante. Sous ce regard neutre, on découvre un court nez fin, et plus bas encore, une paire de lèvres, laissant apparaître de vilaines canines quand il se met à sourire agréablement. C’est son nez et cette bouche fine, entourant une dentition parfaite, qui paraissent plaire le plus à ses clients.
Sa peau pâle, quasiment vierge de marques laisse bien à imaginer des origines nordistes. A aucun moment en le regardant on ne se doute de ses racines marocaines. Le jeune homme possède un nombre de modification corporelle non négligeable. Faisons la liste :
- Oreille droite : un industriel, deux helix, un lobe transversal
- Oreille gauche : quatre hélix formant une crête de pic, un anti-helix, un écarteur d’un centimètre, un snug
- Lèvre : un labret
- Langue : un venom et un sublingual
- Tétons : les deux à l’horizontal
- Nombril : un à l’horizontal
- Poignet droit : un à l’intérieur, de surface
- Partie génitale : un ampallang et un horizontal sur le tronc
- Un tatouage « fuck » à l’intérieur de la lèvre
- Un tatouage demi-manchette sur son avant-bras gauche. La base autour de son poignet est totalement noire et remonte vers son coude en une forêt de pins
La hyène s’habille un peu comme ça vient dans son armoire : pas mal de noir, de jeans troués, de hauts près du corps.
Révélation
Histoire :L’histoire de Sköhll ne diffère pas des histoires qu’on a l’habitude de lire dans le plus banal des romans. Ce n'est pas une histoire tragique, spécialement joyeuse, ou à tonalité humoristique.
Le père de S. est né au Japon et y a grandi. Il y a fait ses études avant de commencer à travailler en tant que chercheur et professeur en biologie marine. Il se maria très jeune, certainement trop mais durant son voyage au Maroc, il rencontra celle qui allait finalement remplacer sa première épouse. Une jeune femme intelligente, métissée, étudiante dans sa filière à cette époque : un mélange entre une femme marocaine et un homme norvégien. Bunmeirevint plusieurs fois voir la jeune femme avant de se décider à divorcer et à arracher Maryam de son pays natal. Elle était une hyène rayée moyen gabarit et lui, un ours brun gros gabarit.
Et de leur union naquirent un enfant : Sköhll qui vit le jour au Japon, à Miyazaki alors que ses parents s'y étaient installés. Ils s'étaient mariés et Sköhll était arrivé cette année là. On lui apprit très tôt à contrôler son aura et le garçon se montra particulièrement à l'aise dans ce domaine. L'année de la naissance de Sko, l'ex femme de Bunmei le recontacta. Les deux ne s'étaient pas séparés en mauvais termes, ils avaient pris conscience de s'être précipités. Mais Elena s'était rendue compte à la suite de sa rupture avec Bunmei, qu'elle était enceinte et n'avait pas pu avorter. Or, elle ne souhaitait pas garder le beauceron qui avait hérité de son petit gabarit, n'ayant absolument pas la fibre maternelle et le considérant malgré elle comme une "erreur". Les procédures légales furent mises en place et le petit Liftën, alors âgé de deux ans finit par rejoindre son père, sa belle-mère et son demi-frère tout juste né, au Japon. C'est à ce moment-là qu'ils déménagèrent pour que Bunmei aille poursuivre ses recherches à Niigata.
Étonnamment, Liftën qui possédait un caractère assez fort et virulent s'entendait très bien avec son frère de deux ans son cadet. Sköhll quant à lui, certainement le plus calme de toute sa famille, ne se défendait pas beaucoup en "société". Même s’il n’était pas la bête noire de son école, il y avait toujours un petit groupe pour se moquer de lui, pour n’importe quelle raison qui leur passait par la tête. Mais en général c’était son son grand frère qui venait le défendre, l’empêchant de se battre et de se faire gronder par leurs parents. Cela aurait dû rester des moqueries sans importance, des petites piques simplement dérangeantes, mais un jour alors que les gamins avaient tout simplement dépassés les bornes par leurs paroles, Liftën s’était retrouvé à se battre et cette fois contre plus fort que lui. La bagarre avait un peu trop dégénéré et une mauvaise chute avait eu pour conséquence de lui briser le poignet.
Il avait été rapidement emmené à l’hôpital et pris en charge, mais S. s’en voulait énormément. L’os en se brisant avait tordu un tendon et il avait fallu opérer Liftën pour remettre son poignet en ordre et plusieurs séances de rééducation avaient été obligatoires. Le jeune homme étant de constitution fragile et, n'en faisant qu'à sa tête, n'écoutant pas correctement les conseils de ses médecins, son poignet ne se remit pas correctement, l'empêchant de jouer correctement de son instrument favori: la guitare. De plus il allait devoir réapprendre à écrire avec l’autre main. Comme son frère, Liftën était un garçon profondément attaché à la musique et savoir qui n’allait plus pouvoir jouer correctement l'avait plongé dans une dépression qui ne s’arrangea pas avec l'attitude indifférente de Sköhll.
Mais tout au fond de lui, la hyène était au plus mal. Sa carapace tentait de le protéger en lui donnant un air éloigné, neutre, comme s’il se fichait de ce qui était arrivé à son frère alors qu’il savait parfaitement qu’il était le seul coupable. Liftën lui reprocha son indifférence encore et encore, et la relation entre les deux frères se dégrada rapidement. Ils en arrivèrent au point où ils s’ignoraient complètement, passant carrément sous silence l’existence de l’autre. Et petit à petit, le jeune homme sentit la solitude commencer à lui peser.
Sköhll possédait une soif de connaissance intarissable, mais aller à l’école, au collège ou au lycée devenait peu à peu un véritable enfer. Surtout qu’il était dans le même établissement que son frère, qui lui était bien plus populaire et qui prenait plaisir à totalement l’ignorer, ne facilitant pas l’ascension sociale du jeune homme. A ses 21 ans, il renonça à sa nationalité d'origine pour obtenir la japonaise qui lui fut accordée. Il demanda la permission de retourner à Miyazaki pour y poursuivre ses études. Au final il suivit sa formation pendant un an, avant d’abandonner et d’aller s’installer dans une ville non loin de là où il était né.
Son dévolu tomba sur Kyushu. Il prit le temps de chercher un travail qui lui conviendrait. Il fit quelques petits boulots pendant un an, serveur, barman avant d’être engagé comme gigolo au Host-Club. La communication avec sa famille ayant largement diminué, ils n’avaient pas connaissance de ce que faisait la hyène. Et lui n’avait pas forcément l’intention de leur donner de nouvelles.
Au final il commença même à... disons... apprécier son travail. Aussi étonnant que cela puisse paraître, son job lui permettait de faire des rencontres qui pouvaient rapidement devenir attrayantes, et booster un peu l’adrénaline dans ses veines. Si le soir il travaillait au Host Club, le jour, le musicien composait des pages et des pages de partitions qui lui servaient à monter sur scène dans certains bars où on demandait des chanteurs ou des musiciens. Au final, même si la ville est un peu « craignos » de son point de vue, il s’y plaît bien et n’a curieusement pas l’intention de la fuir, encore moins pour retourner à ses racines.
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Autre chose : X
As-tu bien lu le règlement? : Yep mais j'vais le relire encore
Comment as-tu découvert ce forum? : Heu, alors je sais plus mais j'suis sur SPA (Nocturne/Vync) donc ça doit venir de là, j'imagine
C'est quoi ton avatar ? : VY2 - Vocaloid
As-tu lu les manga Love Pistols ? : Le début oue
Regardé les OAVs ? : Yep
Changerais-tu quelque chose? : J'le répéterai jamais assez so...: des avatars en 200x400 (oui je sais que tu veux ma peau Kya B)