Ruvik Thrane - U.C

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Prénom : Ruvik Nom : Thrane Surnom : Lulu' ( les japonais ont vraiment du mal avec le R de son prénom ) Date de naissance : 25 mars Age: : 28 ans Sexe : Masculin Origines : Germano-Danois Nationalité : Allemand Orientation sexuelle : Les hommes. Les femmes. Les hermaphrodites. Ta mère. La chaise qui avait de beaux yeux. Bref, un peu tout-sexuel. ( Ou Pansexuel ). Emploi : Nettoyeur qui fait du mercenariat. Passe le balais après les giclées de sang, fait passer les meurtres pour des suicides, ce genre de choses. En journée, il est légalement Médecin Légiste. Groupe : Crépuscule Race : Canidés - Spitz Nain roux (Canis lupus familiaris) - Petit gabarit

Goûts : La gourmandise roule sur sa langue alors que la tentation d’en obtenir plus fait rugir ses entrailles. Personnage princier, précieux, Ruvik aime les choses qui brillent, le parfum du cuir, l’odeur de l’argent. L’aisance et la plaisance, l’excès, par-dessus tout. La nourriture, les sucreries plus encore, se prêtent allègrement à ce goût, et ce, malgré le fait que l’homme soit piètre cuisinier. Préférant être servi que de s’incliner, Ruvik tient cependant à une délicate politesse. Il aime les jolis mots, surtout pour plaire, encore plus à de beaux visages. Il tient au sien, de joli minois. Le danois aime s’apprêter, se faire, se sentir, beau, désirable, et ce n’est pas pour rien qu’il se pavane au sein des clubs qu’il affectionne plus que de raison. Oiseau de nuit, à la fois pour son plaisir, mais aussi son travail, Ruvik aime la fête et tous les excès qui s’en rapprochent. Musique. Alcool. Chair. Pourtant, aussi maniéré peut-il apparaitre, l’homme n’est pas un mania du soin de son intérieur. A dire vrai, il aime son bordel qui ferait passer son chez-lui pour un lotissement d’adolescent. Ruvik a la flemme facile, appréciant trainer langoureusement entre ses draps, quitte à mettre du temps à sortir des méandres de la léthargie.

Caractère :La bête a besoin de contact, de caresses, de tendresse, et il en offre autant qu’il en désire en retour. De jolis sourires et d’œillades doucereuses, Ruvik est un irrécupérable charmeur. Aussi chaud puisse être sa peau pâle et fine, il nécessite toujours plus. Être d’envies et de désirs auxquels il se laisse aller jusqu’à l’abandon le plus total, Ruvik n’est point de ceux qui craignent ce qu’ils ressentent. A l’écoute de ses émotions, l’homme passe aisément pour quelqu’un d’agréable et de très accessible mais aussi, de très changeant. Vif, tant mentalement que de gestuelle, le danois s’épanche en fantaisies, et, pas seulement en ce qui concerne ses goûts vestimentaires colorés. Bavard lorsqu’il s’élance, Ruvik aime l’attention, cependant, est tout autant capable d’en offrir avec plaisir. L’homme écoute avec le sourire, précautionneux envers autrui, les gestes doux. Malgré sa longiligne carrure, son si petit gabarit, le thériantrope possède bien des instincts bienfaiteur. Tendre protecteur, n’hésitant pas à se transformer en chien de garde lorsque l’affection vacille dans sa plus gracile faiblesse, Ruvik détient cette capacité à faire se sentir précieux à ses yeux.  C’est une aura doucereusement chaude, et nul doute qu’il en use parfois pour parvenir à ses fins. Il faut dire qu’il n’est pas rare pour lui d’être sous-estimé par ses pairs. Que ce soit à cause de son gabarit, ou bien de sa nature de chien, bien de gens voient en lui un fidèle compagnon, imbécile heureux, qui ne ferait, ou ne désirerait, de mal à personne.  Pourtant, si le Sptiz s’épanche en jolis mots, il parle beaucoup mais, bien peu de lui. De cette manière, il devient bien difficile de le suivre, de savoir lorsqu’il s’exprime avec sérieux ou non, voire même, de savoir s’il faut prendre ses paroles avec conscience. Le danois en joue assurément, s’en amuse, se plait dans sa manière d’apparaitre aux yeux d’autrui. Et, comme le « R » de son prénom roule sur sa langue dans un délicieux accent scandinave fort exotique pour les natifs de cette partie du globe, Ruvik manie les mots bien plus sagement qu’il ne le laisse croire. Le thériantrope flatte, caresse dans le sens du poil, désire faire atteindre l’extase avec intelligence et doigté. Pourtant, si le roux joue aisément les gentlemen charmants, au goût d’alcool et de musique jazzy qu’il affectionne profondément, Ruvik n’est pas aussi noble qu’il aime se faire passer. C’est un apparat délicat, qu’il apprécie revêtir lors de ses sorties, pour une personnalité… bien plus naturelle en privé. En effet, loin des paillettes des soirées et des flirts échauffés, l’homme pourrait presque tenir de l’enfant. Evoluant dans son chaos organisé avec flegme, personne ne croirait qu’il a fait de longues études de médecines et qu’il s’y trouvait excellent. Même son langage se relâche, se permettant quelques vulgarités qui, pourtant, ne paraissent pas en être, la cause à son attitude si légère. Ruvik se traine, se blotti, pourrait demeurer ainsi des heures, des jours durant, pour peu qu’il se trouve au chaud et avec une bonne compagnie. Câlin au possible, s’il aime se dire indépendant et parfaitement adapté à sa vie de célibataire endurci… quelque part, il sait qu’il ne supporterait pas de se retrouver seul trop longtemps. Ainsi va sa nature.

Physique : Flamboyante créature, il se meut avec élégance. Une adresse assurée par son port de tête haut, et ses délicats membres longs. Menton levé, Ruvik tient du prince. Expansif, physiquement généreux, il offre son corps à la vue de tous. Le danois se trouve beau, alors il lui semble normal pour lui d’être observé, admiré, désiré. Et, même s’il ne s’élève qu’à un modeste mètre soixante-douze, au creux de son esprit, il se sent bien plus grand encore. Poids plume pour ses soixante kilos, sa musculature se fait fine, absolument sèche mais demeure, cependant, bien présente. L’exercice lui plait, et le Sptiz le pratique régulièrement, malgré la difficulté qu’il possède à prendre du poids. Néanmoins, il ne semble pas trop maigre et encore moins maladif. Ses joues pointent de rose sur sa peau pâle et fine, ses lèvres minces s’étirent aisément en un grand sourire, et son nez, peut-être un peu trop long, se trouve sensible à la stimulation, remuant légèrement lorsqu’il s’exprime, lorsqu’il se trouve touché. Par ailleurs, les rougeurs de gêne, quand celles-ci le surprennent, viennent apparaitre jusqu’au bout de l’appendice.
Avec ses cheveux roux, dont il prend absolument soin, d’une certaine longueur, Ruvik est cependant capable, force de gel et de maniement expert, de les faire paraitre plus courts, en donnant l’illusion d’une grande et épaisse frange. C’est une coiffure qui change radicalement son visage et dont il abuse en soirée, se trouvant bien plus classy de cette manière. Et si, force de ses manières, de la longueur de ses cheveux, de la finesse de son corps et de ses vêtements, on penserait à le prendre pour androgyne, il demeure que ses traits restent purement masculins. Marqués, la mâchoire ancrée. L’unique moyen de le confondre avec une donzelle serait de dos, au loin, s’il portait une robe et des talons, tout en l’empêchant de s’exprimer.
Ce qui, n’arrive, avouons-le, jamais.
Mais au moins se trouve-t-il séduisant, dans sa blouse de médecin.



Histoire : (minimum 15 lignes)




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